L'instinct de survie nous mène à Cairns

C'est après plusieurs semaines passées sur une île déserte qu'un hélicoptère est venu nous porter secours. Il était vraiment temps car nous avions commencé à déguster ceux qui avaient péri, les noix de coco ne suffisaient alors plus.
Nos efforts pour communiquer avec le monde civilisé n'ont donc pas été vains et c'est grâce à ce stratagème directement inspiré de McGyver que nous avons été secourus.

Nous remercions donc tous ceux qui ont participé, de près ou de loin, à cette opération quasi suicidaire (du fait de l'hostilité du climat ainsi que des ondes magnétiques) qui a finalement bien terminé.

Cet épisode douloureux désormais derrière nous, nous avons été rapatriés dans la ville de Cairns où son lagon nous attendait.

Nous n'avons cependant pas trop le temps de lézarder (en fait si mais c'est au cas où un potentiel employeur irait fourré son nez sur le blog). En effet, nous avons pour mission de vendre notre cher compagnon de voyage, celui qui a été fidèle des kilomètres durant...

Cela nous fend le coeur mais il faut se rendre à l'évidence : les dons de la France n'arrivant pas, il fallait trouver une solution pour que nos portefeuilles reprenent du poil de la bête et que nos estomacs arrêtent de crier famine.

Une fois les pigeons trouvés, nous pouvons profiter de ce qui sera notre lieu de résidence pour quelques jours, on reprend goût à la vie...